Luisa Piccarreta, une vie dédiée à Dieu.

Luisa Piccarreta (1865-1947) était connue à Corato, sa ville natale, comme Luisa la Sainte. Elle est restée alitée pendant près de soixante ans, en raison d’un raidissement de son corps qui se manifestait toutes les nuits, de façon continuelle, depuis l’âge de vingt-deux ans. [Lire la suite]

La servante de Dieu, Luisa Piccarreta, appelée par Jésus
“la petite fille de la Divine Volonté”

Les écrits de Luisa ne sont pas le fruit de la plume talentueuse d’un écrivain mais celui de son obéissance à l’Eglise, sous l’autorité de ses confesseurs parmi lesquels Saint Hannibal Marie di Francia.
Ce n’est pas non plus de la facile littérature mystique de quelqu’un qui désirerait rendre publiques ses présumées visions ou révélations surnaturelles ; il est plutôt question d’un témoignage douloureux, d’une vie crucifiée par amour, pendant de longues années, dans un lit, vécues par Luisa comme victime, dans la prière et le silence, dans la discrétion et l’obéissance. Seule l’obéissance a pu, par une immense violence de Luisa sur elle-même, la faire écrire.

Aussi les 36 cahiers de son journal n’ont-ils pas été écrits par la culture ou le talent d’un écrivain, ni par désir de faire connaître des révélations qu’elle a reçues ou des visions qu’elle a eues, ni par un mysticisme faux et dangereux mais par « Dame Obéissance » !

Les écrits de Luisa nous montrent et, plus encore, nous offrent toute la Douleur et tout l’Amour de Jésus ainsi que le Don Suprême de son Vouloir, Don des dons, afin qu’il devienne vie de ses enfants tout comme il est vie de Dieu (Le Règne de Dieu que l’Eglise invoque et auquel elle se prépare : que la Divine Volonté soit sur la terre ce qu’elle est au Ciel). Et tout cela arrive jusqu’à nous par la vie immolée de Luisa.